Projet Bradbury 2015

Vous trouverez ici mes nouvelles pour le Projet Bradbury de 2015. (Qu’est-ce que c’est, le Projet Bradbury ?)

Dix-neuf nouvelles seulement sur les cinquante-deux prévues. Ce n’est pas terrible comme score. Et pourtant ce sont dix-neuf nouvelles écrites en seulement un an, et j’en suis quand même fière.
Un Projet Bradbury en demi-teinte… Un échec victorieux, quoi. J’espère qu’il vous plaira : bonne lecture !

Semaine 1 : Alpine
Un texte tout simple, écrit pour remercier un ami qui m’a demandé en échange « quelque chose avec des animaux mignons ».

Semaine 2 : La Quête de sens
Une vaste farce paradisiaque, ou l’histoire d’un homme qui cherchait le sens de la vie.

Semaine 3 : La Valse de la fin du monde
Une tentative de traiter le stress post-traumatique dans une ville frappée par une apocalypse musicale.

Semaine 4 : Le Messager du frêne
L’histoire d’un écureuil devenu mythique.

Semaine 5 : Les Geais d’eau
Une histoire sur la base d’une phrase initiale et une phrase finale imposées : « Ils traversaient un champ de narcisses » et « finalement, les oiseaux n’étaient pas venus », en temps limité : une heure.

Semaine 6 : Un Bip au crépuscule 
Une nouvelle écrite dans le cadre du match d’écriture de Présence d’esprit. Mon thème était « le dernier ordinateur » et j’avais pour contraintes « la nuit du solstice » et « une machine à désendoctriner », en temps limité : deux heures.

Semaine 7 : Le Manteau de printemps
Un petit drabble écrit dans le cadre d’un atelier d’écriture, pour fêter l’arrivée du printemps de manière moins classique que des oiseaux et des fleurs. Inspiré par une personne que j’aime beaucoup, mais je ne voudrais pas vous spoiler.

Semaine 8La Minute volatile
Premier texte de la Cueillette d’été. Où l’on parle de téléphone, de poule, d’open space…

Semaine 9 : La Divine acédie
Une nouvelle écrite pour un atelier d’écriture. Il s’agissait d’écrire un mythe permettant d’expliquer un point de notre monde : j’ai expliqué l’origine d’un des pires fléaux de l’humanité (et de deux trois autres points au passage).

Semaine 10 : La Descente vers la lumière
Une nouvelle écrite dans le cadre des 24h de la nouvelle. La contrainte était d’intégrer un lieu abandonné. J’ai aussi joué à faire commencer chaque paragraphe par les lettres de l’alphabet, dans l’ordre. On est dans de l’anticipation assez classique, où la jeune Aurore cherche à comprendre l’origine de son nom…

Semaine 11 : Le Trop beau côté du miroir
Deuxième texte de la Cueillette d’été. A trop vouloir faire des effets de style, on dirait bien que j’ai échoué à faire passer ce que je voulais. Le texte ne me satisfait guère, mais j’y reviendrai un jour…

Semaine 12 : Les Nouveaux anciens
(Le lien renvoie vers la page de Présences d’esprits : cliquez sur l’onglet avec le bon titre pour lire le texte !)

Le texte du match d’écriture des Imaginales organisé par Présences d’Esprits, écrit en mois de deux heures. Le thème était « J’ai avalé un trou ! », et les contraintes « une brume vengeresse » et « à la mort de l’empereur ».

Semaine 13 : Catching the Transmission
D’abord écrite en anglais puis traduite en français, un souvenir laissé à mon hôte lors de mon tour à Falun. Quand la Voix d’une ville prétend jouer les Auteurs, les machines ne la laisseront pas forcément faire.

Semaine 14 : Des Nouvelles de l’extérieur
Première nouvelle écrite dans ce qui deviendra la Saga de la Tour, pour le Ray’s Day : Mina est riche, et l’avantage de la richesse, c’est qu’elle permet de s’isoler des autres. Jusqu’au moment où des choix s’imposent.

Semaine 15 : Taillefeu
Deuxième nouvelle écrite dans ce qui deviendra la Saga de la Tour, pour le Ray’s Day. La fabuleuse histoire de Nathaniel Taillefeu, celui qui n’aimait pas le soleil.

Semaine 16 : La Saga de la Tour, partie 1 et partie 2
Série de mini-nouvelles écrites sur des cartes postales pour le Ray’s Day, pour ne former qu’un seul univers qui voyage et surtout fait voyager au-delà des frontières de l’espace et de la fin du monde.

Semaine 17 : Pour l’amour d’une mer
On a parfois envie de s’échapper de ce qui nous contraint. Ce texte est une mise en abyme : écrit alors que je faisais le choix de me détacher d’un endroit douloureux, il parle d’une fille qui fait elle aussi ce choix.

Semaine 18 : A peu de choses près
Ecrit en une demi-heure, ce texte avait pour seul but de contenir trois mots-contraintes donnés par des Twittos enragés (au moins). Celui-là raconte une soirée ratée.

Semaine 19 : Le poids de la commande
Même principe que le précédent : il fallait qu’il soit écrit en trente minutes et contienne trois mots-contraintes. Celui-là raconte la grogne de salariés pas très bien traités…